Accès page 1/12 + index de navigation
Personnages Clefs de ce traquenard judiciaire :
Supplément :
Les personnes morales ou physiques, concernées par les informations recueillies sur ce site, ont un droit d'accès et de modification des informations inventoriées sur ses pages.
Avis aux investisseurs en Nouvelle-Calédonie : l'exemple de Raoul MONTHOUEL face à une justice et une presse dignes de l'époque coloniale avec ses "petits arrangements"... (mise à jour
Lorsque des innocents doivent se défendre devant des accusateurs de métier, intronisés dans leurs fonctions par tout l'apparat volontairement impressionnant et protocolaire de l'appareil judiciaire, ils sont particulièrement démunis, voire en proie de panique et de perte totale de moyens, de leurs facultés. Malheureusement, la justice est le jouet d'hommes et de femmes de nos temps, le fruit des tares et du côté obscure de nos sociétés. Ceux qui la servent sont-ils complices ou victimes ? une chose est certaine, ils en sont le corps et l'esprit.
"La justice est la sanction des injustices établies" Anatole FRANCE (1844-1924, Académie Française, Prix Nobel 1921).
Résidente à Nouméa et Mariée à Gilles DELRIEU (77.56.62) directeur de la revue japonaise PICNIC, Atsuko DELRIEU est professeur de japonais.
De temps en temps, Madame Atsuko DELRIEU est requise par les autorités judiciaires pour faire des traductions ou servir d'interprète, bien qu'elle n'ait aucune fonction officielle à ce titre. Il semble que chaque partie y trouve son intérêt et que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes !
Jusque là, ma fois, rien que de plus banal.
Par contre, ce qui l'est moins, c'est le comportement de Madame Atsuko DELRIEU dans le cadre des fonctions qu'elle exerce auprès des autorités judiciaires.
En effet, alors qu'on est en DROIT de s'attendre d'une interprète, non pas un minimum d'impartialité, mais une impartialité totale et infaillible dans le cadre de son travail, Atstuko, elle, prend partie, intervient, conseille... déforme !
Tout aussi surprenant le fait que ça ne semble choquer personne. J'oserais même dire, au contraire. Elle se transforme ainsi en avocat de la partie qu'elle défend (japonaise évidemment), puisqu'il s'avère qu'Atsko ne puisse s'empêcher d'avoir un parti pris, en dépit de son manque de recul et d'une incompétence totale pour porter un jugement. C'est bien la problème...
Elle aussi, comme sa très estimée Madame Marie-José MICHEL, doit être convaincue, à juste titre, qu'elle "protége" les ressortissantes Japonaises mise en cause. Solidarité féminine ? Peut-être...
Il se pourrait aussi qu'elle veuille tout régenter, contrôler et, à l'instar de la consul honoraire, qu'elle ne puisse concevoir qu'une de ses compatriotes soit mise en cause devant la justice, ne pouvant qu'être victime et irresponsable de tout dans notre société sexiste, où les hommes (sauf le sien ?...) ne serait considérés que comme des machos. Y-aurait-il un "droit japonaises" au-dessus du droit commun s'appliquant à tout justiciable ?
En tout cas, assorties d'un magistrat inquisiteur investit de la défense de ce "droit japonaises", mesdames Atsuko DELRIEU et Mari-José MICHEL sont des ennemies redoutables du droit et de la justice.
Pour ma part, je note qu'à l'issue de cinq années de procédure, Atsuko DELRIEU est la seule personne qui ait pu apporter sa contribution directe @ la monitrice japonaise Miwako KAWAI (affaire homicide involontaire pour laquelle j'ai endossé 100% de ses responsabilités) pour qu'elle se constitue partie civile contre moi depuis le Japon, trouve un avocat au barrot de Nouméa et me réclame des sommes astronomiques, non émue du tort incommensurable que son extraordinaire incompétence m'avait déjà causée, que dire pour la famille de la victime...
Mais là ne s'est pas arrêté le zèle de Madame Atsuko DELRIEU, qui n'a cure du secret professionnel ou d'un minimum de discrétion et s'est très largement fait l'écho des détails du dossier judiciaire qu'elle contribuait a alimenter, exclusivement et de façon outrancière à charge contre moi, dans le cadre de son rôle d'interprète-traductrice; ne se rendant peut-être pas compte, du moins je l'espère pour elle, qu'elle appréhendait toute cette affaire par le petit de sa lorgnette.
C'est ainsi que j'eu le désagrément d'être pris de haut par son mari, Gilles DELRIEU, dans le cadre de mon activité professionnelle, puisque ma société était annonceur publicitaire dans sa revue depuis des années. Ça m'avait d'abord très surpris, puis peiné, car nous entretenions une bonne relation professionnelle. Gilles s'était adressé à moi au téléphone en des termes méprisables et vindicatifs, me faisant savoir que ma société n'avait plus sa place dans sa revue, que j'étais un criminel ! Il était impossible de le raisonner et je ne lui en voulait pas, vu la façon dont la presse m'avait vilipendé ; mais je pris pleinement conscience du rôle de son épouse Atsuko.
J'ai ensuite pu apprécier la "publicité" de bouche à oreille que me faisait le couple à travers la communauté japonaise locale et tout le réseau de clientèle japonaise, agences comprises, dont mon activité dépendait.
Certains penseront "c'est dégueulasse !" Je dirai simplement "c'est la petite communauté de Nouméa".
Aujourd'hui, je peux leur faire savoir qu'ils m'ont rendu service au niveau de leur revue PICNIC, car je m'en suis avantageusement passé, en faisant des économies à un moment où les cabinets d'avocats se sont gavés sur mon dos, sans scrupules et hélas sans grande compétence ni volonté.
Ainsi donc, dans la droite ligne de la consul honoraire du Japon, Madame Atsuko DELRIEU est une autre cheville ouvrière qui permet à des ressortissantes Japonaises d'échapper impunément à la justice, jusqu'à inverser les rôles entre plaignants et victimes ! Car finalement, dans l'affaire qui est relatée ici, à travers l'homicide involontaire, si Mr MATSUMOTO a perdu la vie et moi mon entreprise avec mon honneur, c'est dans la direction de Mme Miwako KAWAI, de ses qualifications PADI, de ses références et de tous ceux qui ont contribué à sa fuite que je me tourne.
Pressions ? Copinage ? Parti-pris et changements inexplicables d'attitudes ?...
A propos de Madame Atsuko DELRIEU et de ses relations avec le Parquet de Nouméa, ce site n'est pas le seul, des victimes quand même arrivent à s'exprimer grâce au Web ; mais qu'importe le nombre, une seule n'est-elle pas de trop ? http://caledoneries.com/apercus-de-linstruction/pressions/
°°°°°°°°°°
Les personnes morales ou physiques, concernées par les informations recueillies sur ce site, ont un droit d'accès et de modification des informations inventoriées sur ses pages.
The views expressed in this material are those of the authors and do not necessarily reflect the views and policies of the website or its Webmaster.
The latter does not guarantee the accuracy of the data included in this publication and accepts no responsibility for any consequence of their use.